8 mai 2016

Le syndrome de la page blanche..



Aujourd'hui, j'ai décidé d'écrire, sans forcément me relire, sans forcément me prendre la tête, juste laisser mes mains courir sur le clavier et confier mes pensées.

Depuis septembre 2015, j'ai quasiment laissé mon blog à l'abandon. J'avais promis que j'essayerai de tenir le rythme, mais je n'ai pas réussi.
Je me suis retrouvée coincée entre des cours à la fac assez chargés, un quart temps en temps qu'auxiliaire de vie à domicile qui me prenait (et me prend) tous mes week-ends. Ainsi qu'une rupture amoureuse au bout de 4 ans de relation. Je l'ai plutôt bien vécu, mais on ne s'en remet pas non plus en une semaine.

De plus, je me rends compte que le titre de blogueuse "beauté" ne me correspond pas.
Alors c'est sûr, je suis coquette, j'aime me faire belle, je suis abonnée à la Birchbox et je suis comme une petite folle à chaque fois que je la reçois. Mais je n'ai pas la prétention de donner des conseils beauté, car je n'en suis tout simplement pas capable, et cela ne m'interesse pas !

Par conséquent, je ne savais plus quoi faire de mon blog, car il était clairement orienté beauté/lifestyle.
Je ne pense pas le reprendre en m'y mettant à fond, mais juste en postant mes humeurs et mes coups de coeur/gueule.

J'ai crée ce blog à une période de ma vie où cela n'allait pas forcément, et maintenant que je suis très épanouie, je ne m'y retrouve plus, je n'ai plus cette envie d'écrire pour me décharger de mes problèmes.

Pourtant écrire est quelque chose que j'adore, mais j'ai surtout envie de croquer la vie à pleines dents, et de ne pas me prendre la tête à écrire, à me relire, à faire de jolies photos...

Bref, c'est un projet que je n'ai pas su tenir, mais quelque part, je m'en fiche un peu.. Les projets, ça va, ça vient, ce qui compte, c'est d'être bien dans sa peau, et c'est ce qui se passe pour moi, depuis cette fameuse rentrée 2015.

A bientôt,


Myriam

2 commentaires:

  1. Je te comprends ! Je sais que je m’y prends un peu tard, et que tu as peut-être trouvé une solution par la suite, mais quand ça va mal j’essaie toujours de prendre du recul. Cela t’aidera peut-être aussi !

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  2. Je te comprends ! Je sais que je m’y prends un peu tard, et que tu as peut-être trouvé une solution par la suite, mais quand ça va mal j’essaie toujours de prendre du recul. Cela t’aidera peut-être aussi !

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